So LES A M O U R S THE’RON E. Vertumne vient ; je vous laifle avec luy. En voyant mon ingrat» eachez bien ma foi* bleíTe, SCENE TROISIEME, VERTUMNE, POMONE, VERTUMNE, B ElleDéeíTe, enfin m’eft-il permis De publier que mon cceur vous adore) A vos orares toüjours (oumis, J*ay caché, malgré moy , le feu qui me devore ; Je touche au doux moment que l’Hymen m’a promis i Faut-il long-temps me taire encare ? POMONE. D’un amour fi difcret , Vertumne , recevez Ja juíle recompenfe, Pomone aujourd’huy vous diípenré De garder un plus long fecret. VERTUMNE. Aprés une contrainte auflere, LaiíTons avec traníport éclater nos foupirsj Si quelquefois l’Amour nous oblige au mi. ftere, C’cft pour rcdoubler nos plaifirs.